article précédent : La Chata En regardant défiler à travers les vitres du bus les derniers paysages désertiques du Nord du Pérou, je repense à la dizaine de jours écoulés à Sullana. L’abandon de Parkinson, de la...
Et comme le ciel perpétuellement gris de Cuenca, j'avais moi aussi l'impression d'être toujours à deux doigts de me déchirer...
A deux cuadras du palais présidentiel, on arrivait déjà dans des rues craignos où trainaient les mecs au regard torve et où les mendiants couchés sur le trottoir refaisaient les bandages de leurs pieds suintant le pus. La...
J’ai longtemps hésité à écrire cet article. Vous n’imaginez pas combien de fois je l’ai abandonné après quelques lignes. La cicatrice était encore trop fragile......